De nombreuses études scientifiques ont démontré l’impact négatif des organismes génétiquement modifiés (OGM) sur l’environnement, c’est pourquoi quatre pays européens – l’Autriche, la Hongrie, la France et la Grèce – ont décidé d’interdire la culture du maïs MON810 sur leur territoire. Ce maïs est le seul OGM autorisé à la culture commerciale en Europe, Pourtant, la Commission européenne, suivant un agenda très favorable aux OGM, tente de forcer ces États membres à lever leurs interdictions nationales.

C’est maintenant aux ministres de l’Union européenne qu’il reviendra de statuer sur le droit de ces pays à protéger leur biodiversité, leur agriculture et la santé de leurs citoyens du danger que représente ce maïs génétiquement modifié.

L’avenir des interdictions autrichienne et hongroise dépend du vote des Ministres de l’Environnement du conseil du 2 mars, tandis que le sort des clauses de sauvegarde de la France et de la Grèce sera décidé ultérieurement.

Dix pays clés tiennent entre leurs mains le destin de ces interdictions : l’Allemagne, la République Tchèque, la Roumanie, l’Italie, l’Espagne, le Portugal, l’Estonie, la Slovaquie, la Bulgarie et la Belgique.

Merci d’écrire aux ambassades de ces pays pour leur demander de soutenir le droit de l’Autriche, de la Hongrie, de la Grèce et de la France à conserver un environnement et une agriculture sans OGM.

Signez la pétition en ligne sur le site de Greenpeace